Blog - Marketing is Dead
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Marketing RH : les collaborateurs sont les meilleurs recruteurs !

Les programmes d’employee advocacy se développent dans de nombreuses entreprises : pour mieux cerner le sujet, je laisse la parole aujourd’hui à un spé cialiste, Rémy Baranger, ex-Directeur Marketing d’IBM France, fondateur et Managing Director d’Eurekavox qui accompagne les entreprises dans la mise en œuvre de programmes d’employee advocacy.

Et si vous décidiez de confier vos recrutements à vos salariés ?

J’entends d’ici les gardiens du temple RH s’esclaffer devant l’ineptie d’une telle idée. Mais une fois passés les sarcasmes provoqués par cette interpellation un brin provocante, examinons la situation.

Notons d’abord que le contenu partagé par les employés génère 8 fois plus d’engagement que le contenu partagé par la marque (Vanksen). Les chiffres de ce genre ne manquent pas pour illustrer combien les collaborateurs peuvent devenir une force supplétive redoutablement efficace au service non seulement de la notoriété de l’entreprise au sens large mais aussi de la marque employeur.

Quelques autres chiffres

79% des candidats de moins de 35 ans utilisent les réseaux sociaux dans leur recherche d’emploi (Medef).

Les entreprises dont les employés ont l’habitude de partager du contenu de qualité sont 58% plus susceptibles d’attirer les talents (LinkedIn).

71% des candidats sont plus enclins à postuler s’ils connaissent déjà un collaborateur dans l’entreprise (hellowork).

Construire la marque employeur est un sport collectif

Alors que la fameuse « guerre des talents » fait rage, la nécessité ne fait plus question de développer une marque employeur forte. Cette dernière n’est pas juste une fiche d’identité supposée fasciner d’intérêt les candidats. Une marque employeur puissante se bâtit sur une narration dont les éléments sont la culture d’entreprise, ses valeurs, ses principes de fonctionnement. Cette narration ne peut être efficace que si elle authentique (ah, l’« authenticité » !, ça y est, le mot est lâché !).

Il s’agit alors de mobiliser l’ensemble des acteurs et activités de l’entreprise, et au premier chef les collaborateurs qui la vivent et la respirent de l’intérieur et qui en sont donc les porte-voix les plus légitimes. Qui d’autre en effet est plus crédible pour parler de l’expérience-employé que l’employé lui-même. Il lui est en général accordé crédibilité et confiance, ce qui est bien moins le cas pour la voix corporate.

L’employee advocacy au cœur de la stratégie de marque employeur

52% des entreprises encouragent leurs salariés à prendre la parole sur les réseaux sociaux (hellowork). Autrement dit, nombreux sont les employeurs qui ont compris qu’engager les collaborateurs comme ambassadeurs de la marque employeur peut se révéler efficace.

Cependant, il ne s’agit pas juste d’encourager quelques collaborateurs à « parler de leur boîte » à leurs relations et autres followers. Vous constateriez cacophonie, prises de paroles maladroites voire inappropriées, impossibilité de mesurer les résultats et finalement un désengagement des collaborateurs initialement enthousiastes.

La démarche doit donc être encadrée et faire l’objet d’un programme d’employee advocacy digne de ce nom. Un tel projet ne se lance pas à la légère. On y embarque les collaborateurs comme on embarque des marins sur un navire. Le cap doit être clair, le navire bien préparé et le capitaine résolu.

Il convient donc de démarrer par un diagnostic qui ouvrira sur une feuille de route précise, dont l’exécution sera accompagnée, mesurée avec rigueur et réajustée si besoin en mode test & learn.

Les Millennials

La nécessité de travailler la marque employeur est accentuée par la présence sur le marché du travail des Millennials. Cette génération, correspondant aux personnes nées entre le début des années 1980 et la fin des années 1990, constituera 75% de la population active mondiale d’ici 2025 (INSEE).

Les Millenials présentent des caractères bien particuliers quant à leur relation au travail. Ils mettent les entreprises au défi d’une adaptation obligée, et donc d’une sorte de « rebranding » de la marque employeur. Ils sont non seulement en recherche particulière de sens et d’authenticité, mais sont aussi des utilisateurs actifs des réseaux sociaux.

L’employee advocacy prend ici d’autant plus de sens.

Un cercle vertueux

Il est fini le temps où le recruteur publiait une offre et attendait tranquillement qu’arrivent les CV. L’heure est désormais à une approche beaucoup plus proactive autour de laquelle fleurissent des termes tels que Marketing RH et Inbound Recruiting (à l’instar de l’Inbound Marketing).

Autres temps, autres moeurs. L’employee advocacy doit désormais faire partie du « dispositif marque employeur » de façon quasi obligée. C’est efficace et vertueux. 

Une étude de Hinge Research Institute et SocialMediaToday a constaté que près de 86% des collaborateurs engagés dans un programme d’employee advocacy déclarent y avoir vu un impact positif sur leur carrière.

J’ai l’habitude de dire que 100% des collaborateurs ambassadeurs sont des collaborateurs engagés. Ils développent leur personal branding et leur leadership. La qualité de la relation employeur-employés se renforce et, au final, c’est la qualité de l’expérience client qui elle-même s’améliore.

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UX Muji nullissime

J’achète le 22 janvier un pullover en laine mérinos à la boutique Muji des Halles : quelques jours après, je constate qu’il pluche ! Passant ce matin devant le magasin, j’entre et demande si c’est normal.

Réponse de la vendeuse : non, peut-être est-ce parce que vous porter dessus un manteau en polyester : pourtant jamais Muji ne m’a prévenu du risque de porter un manteau en polyester sur leur pull.

Voyant que la réponse ne me satisfait pas vraiment, elle me propose de voir son supérieur, pour qui, il n’y a pas eu de retour négatif sur ce type de pull, donc … tout va bien : vous comprenez, on a des réclamations journalières à traiter, on ne va pas rembourser tout le monde.

Bref, évitez d’acheter un pull chez Muji, c’est sympa quand c’est neuf, mais TRES rapidement immettable ; et des soucis, ils en ont tous les jours – dixit le responsable de … rayon, magasin … je ne sais pas trop, il ne s’est pas présenté ?

Muji surfe sur une vague japonisante minimaliste, et ça marche : et c’est même très tendance auprès des jeunes, tendance bobo parisien … Il y a aussi le côté écolo qui plait bien.

Belle image de marque, un zest de mission et de RSE … et une expérience utilisateur un peu pourrie : on est les meilleurs, on ne va quand même pas se soucier des désagréments de nos clients … surtout quand il n’y a pas une obligation légale qui nous y oblige !

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Services à la personne : peut VRAIMENT mieux faire

Y aurait-il encore des métiers qui ne s’écrivent qu’au féminin – ou très majoritairement au féminin : cela semble le cas pour le « Réseau national d’agences spécialisées dans l’aide à domicile pour les personnes âgées » Petits-fils, du moins à en croire leur dernière campagne d’affichage.

Campagne qui a immédiatement suscité sur Twitter de nombreux commentaires négatifs : « C’est un beau métier, vous auriez pu mettre en valeur l’humain et les valeurs de façon plus classe » ; « Maria … Fatima…Bonjour les clichés !!! ».

Et l’annonceur de se défendre, en précisant que « les 4 prénoms les plus fréquents dans nos agences sont CATHERINE, MARIA, FATIMA et CHRISTOPHE », en précisant « Nous sommes fiers de la diversité de nos auxiliaires de vie ».

Bref, 3 auxiliaires sur 4 sont des femmes chez Petits-fils, preuve sans doute de la difficulté du secteur à recruter des hommes : peut-être pas nécessaire de leur jeter la pierre … mais peut-être pas nécessaire pour la société de s’en vanter !

Mais du constat à la promotion, il y a un gouffre … dans lequel tombe le publicitaire qui a réalisé la campagne – et bien évidemment l’annonceur qui l’a validée ! Car la publicité n’est pas déclarative – les non sémioticiens me pardonneront mon jargon –, elle est performative ; pour faire plus simple : elle ne dit pas ce qui est est, mais ce que l’annonceur souhaite qu’il soit !

Et pour ce dernier, c’est clair : la profession d’auxiliaires de vie est très majoritairement féminine, c’est sa vision, et il souhaite majoritairement recruter des femmes ; en équilibrant les visuels entre prénoms masculins et féminins, il aurait proposé une vision plus moderne, et surtout plus éthique, de ladite profession.

Aujourd’hui les Ehpad occupent le devant de la scène médiatique, les langues se délient – très légitimement : les sommes en jeu sont colossales et les malversations à la hauteur des investissements.

Mais il na faudrait pas oublier l’autre bout de la chaine, celui des petites structures privées qui se développent à grande vitesse : avec le vieillissement de la population, le marché est porteur, d’autant que les familles souhaitent maintenait le plus longtemps possible leurs aînés à domicile … et vu le scandale des Ehpad, ça se comprend.

La qualité des prestations n’apparaît pas nécessairement au rendez-vous, du moins à en croire la DGCCRF, qui s’est penché sur la question peu avant la crise sanitaire : « Menée fin 2018 et début 2019, l’enquête a révélé que ces opérateurs méconnaissent souvent la réglementation ».

Petit florilège : « pratiques commerciales trompeuses sur les prix, la qualité et la durée des prestations » dont « apposition sur les documents et en vitrine de logos de certification que l’organisme ne détient pas » et « surévaluation des diplômes des intervenants » ; « manquements dans l’information précontractuelle » ou encore : « clauses abusives dans les contrats », etc.

Ce qui pose un grave problème d’éthique à deux niveaux :

  • Des franchisés, qui souhaitent rapidement rentrer dans leurs fonds après avoir investi entre 50 et 100 K€ pour ouvrir boutique ;
  • Des franchiseurs, qui ne pensent qu’à couvrir le plus rapidement possible le territoire national, ne serait-ce que bloquer l’arrivée de la concurrence.

A une époque où l’on prône la responsabilité sociale des entreprise, il semble que le secteur des services à la personne devrait commencer à la faire le ménage devant sa porte avant d’aller le faire chez les séniors !

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J’ai failli acheter des lunettes EnChroma … mais ne l’ai pas fait !

Depuis une dizaine d’années, la société EnChroma commercialise des lunettes censées améliorer la vision des daltoniens : dès que j’eu ai eu connaissance, je me suis empressé d’effectuer le test d’Ishihara disponible sur le site pour découvrir que je souffrais de deutéranomalie – dysfonctionnement des cônes verts.

Le storytelling de la découverte « par hasard » par Don McPherson du procédé est vraiment bien pensé : par un bel après-midi de 2005, ce dernier portait, pour jouer à l’Ultimate Frisbee, des lunettes de soleil fabriquées à partir d’un verre utilisé pour la protection des chirurgiens opérant au laser.

Miracle : son ami daltonien qui les lui emprunte, découvre qu’il peut discerner des cônes de signalisation oranges qu’il ne pouvait pas distinguer auparavant : les lunettes de soleil « améliorées » de Don McPherson corrigent le daltonisme.

J’ai longtemps hésité avant de franchir le pas : il fallait commander aux USA des équipements qui valaient au minimum 300$, frais d’expédition en sus, sans trop être sûr du résultat ; certes EnChroma garantissait leur remboursement en cas d’insatisfaction, mais quand même …

Et puis, EnChroma a commencé à développer un réseau d’opticiens affiliés avec deux boutiques à Paris : et j’ai donc décidé de tenter l’expérience il y a quelques jours, le test effectué sur le site EnChroma indiquant « Strong deutans […] have a strong red-green color blindness caused by an anomaly in the M-cone photopigment gene sequence ».

Sur place, l’opticien me propose d’essayer 3 paires de lunettes correspondant à ma deutéranomalie pour déterminer la plus adaptée en parcourant une sorte de livre d’images monochromes … rien de bluffant !

Et de m’expliquer que cela va s’améliorer avec le temps ; puis il me propose de faire un petit tour dans la rue pour un meilleur ressenti, notamment au niveau des contrastes – et c’est vrai que le paysage urbain m’apparait TRES légèrement plus contrasté … mais encore une fois, rien de flagrant.

Juste un peu comme lorsque l’on chausse au ski un masque anti UV légèrement teinté … rien de bluffant non plus !

J’ai donc failli acheter des lunettes EnChroma … mais ne l’ai pas fait : 300€ pour les verres, montures en sus, pour quasiment aucun résultat !

La vraie question n’est pas : « Les lunettes pour daltoniens sont-elles réellement efficaces ? » – sachant que d’autres marques se sont lancées sur le marché, certaines françaises … mais tout aussi chères ; mais : « Pourquoi si peu de critiques concernant ses lunettes ? ». Car la plupart des sites les évoquant ne laissent que peu de place au doute.

En fait, on retrouve – y compris de la part des journalistes, et pas des seuls blogueurs ou opticiens revendeurs – les mêmes discours … tout droit issus du site EnChroma ou de ses communiqués … y compris au sein des papiers évoquant ses compétiteurs récents.

Un peu comme si par antonomase la marque EnChroma était devenue synonyme de (lunettes contre le …) daltonisme – et la seule référence existante.

Du moins, en France ; parce qu’en anglais, sur Phys.org par exemple, on peut lire que des « scientifiques démentent l’efficacité des lunettes EnChroma pour les daltoniens », en renvoyant à une étude très approfondie réalisée par des chercheurs de l’Université de Grenade, accessible sur Opg.optica.org et concluant :

« Les résultats montrent que les verres spécifiquement utilisés dans cette étude n’ont révélé aucune amélioration […]. Par conséquent, les lunettes ne peuvent pas aider à tricher dans les tests de dépistage professionnels ».

Pour être plus précis, porter des lunettes EnChroma ne permet pas de réussir le le test d’Ishihara : lors de mes essais, je ne comprenais pas pourquoi l’opticien ne me proposait pas de refaire le test d’Ishihara avec ses lunettes ; après lecture des travaux espagnols, je réalise qu’évidemment, cela m’aurait apporté la preuve de l’inefficacité de son offre ! CQFD.

J’ai malgré tout réussi le test d’Ishihara sur mon PC, non pas en achetant les lunettes EnChroma, mais gratuitement … en modifiant juste les paramètres de Windows : Accessibilité > Filtres de couleurs … c’est tout simple … et ça marche ! Bien sûr, on ne découvre aucune nouvelle couleur, mais on distingue mieux nuances et contrastes, et c’est déjà ça !

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Et si c’était un lapsus ?

Geeks, politiques et autres sociologues, philosophes … – bref, toute la sphère pensante mondiale – a énormément glosé sur le renaming de Facebook en Meta

Les psychanalystes – que je ne suis pas ; pourtant, c’est un métier sympa et économique : alors que nous payons parfois cher aller écouter des conférenciers de plus ou moins grand talent parler de tout et de rien dans divers symposiums, eux, les psy, réussissent le tout de force de se faire payer pour écouter … Bon, je m’égare.

Pour revenir à Zuckerberg, pensait-il réellement à Métavers quand il a choisi de renommer ainsi son groupe ?

Bien sûr, direz-vous, les Métavers, c’est l’avenir du Web … un peu comme Second Life en son temps … Si, si, souvenez-vous, c’était tout au début des années 2000 ! Si, si, souvenez-vous, un certain Sarkozy et une certaine Royal s’y affrontaient, chacun sur son ile ! Bon, tout le monde a oublié Second Life, Royal … pas Sarkozy qui fréquente désormais les tribunaux IRL. Bon, je m’égare à nouveau.

Quand les patrons de Google ont décidé de changer de nom, ils ont choisi Alphabet … et sous Alphabet, il y a de place pour beaucoup de choses, y compris un soupçon de transhumanisme avec Ray Kurzweil, l’homme qui à sa mort, veut être « perfusé avec des cryoprotectants, vitrifié dans de l’azote liquide et stocké » … rien que ça … mais je m’égare encore.

L’on dira qu’au travers de Meta, il y a une vision – celle du Web de demain … ce qui est très risqué, car futurologie rime rarement avec … futur.

Mais alors, pourquoi Meta ?

Si l’on considère le choix de Zuckerberg comme un super lapsus – pourquoi pas ? – quel pourrait être le terme que l’ami Mark dissimule si mal derrière Métavers ? Pour quoi pas un mot qui décrirait de manière claire, nette et précise ce qu’est réellement devenu Facebook ?

Vous l’avez au bout de la langue, je vous aide : méta … stases ! Eh oui, Zuckerberg reconnaît lui-même ce que dénonce la lanceuse d’alerte Frances Haugen, mais aussi tous les chercheurs qui se sont peu ou prou penché sur ses algorithmes (Cf. lemonde.fr ou liberation.fr) : Facebook est une maladie dangereuse qui se reproduit toute seule, de manière anarchique et incontrôlée !

Bref, Facebook = cancer, c’est que nous suggère son créateur !

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Chronopost fait le lit d’Amazon !

Produit commandé le 10/10 pour livraison via Chronopost au point relai Populaire Informatique à Vincennes et pris en charge par Chronopost le mardi 12/10/2021 à 20 heures 01 : c’est précis et tout va bien !

Le 13, à 3 heures 01, il arrive chez Chronopost à Aulnay-Sous-Bois puis à 5 heures 46, à Rungis avec en commentaire : « Colis en phase d’acheminement vers l’agence de distribution ».

Ensuite ça se corse :

  • A 10 heures 42, le « service d’avisage » m’envoie un mail : « Colis en retard »,
  • Le 14, à 0 heure 18, le colis se balade à nouveau à Aulnay-Sous-Bois,
  • A 5 heures 11, il est à Alfortville avec pour commentaire : « Colis prêt pour la livraison »,
  • A 11 heures 31, il est à « en attente » avec pour commentaire : « Absence prolongée du destinataire : Livraison reportée le 15 du mois en cours »

Je téléphone au numéro que m’indique le Chatbox dont l’intelligence rivalise avec celle d’un moineau :

  • Excuses plates (ils doivent être entraînés à ce genre de réponses) et « le colis sera livré demain »,
  • Je m’étonne : j’ai demandé une livraison au point relai Populaire Informatique et le site indique Station Esso … pas la même chose,
  • Nouvelles excuses (ils doivent être entraînés …) et on corrige l’erreur,
  • Tout va être confirmé par un mail … qui n’arrivera jamais !

Et après ? Après :

  • Le 15 à 9 heures 50, le colis arrive à … la Station Esso,
  • Et l’en suis avisé de cette arrivée au mauvais endroit à 12 heures 04 … ça prend du temps !

Entre-temps, comme j’ai consulté le site de suivi Chronopost, j’ai posé une réclamation à 11 heures 37, via Messenger où l’on me rassure : « François je suis navré d’apprendre que vous rencontrez des difficultés. Je viens de créer le dossier 38886172. Il contient toutes les informations essentielles pour vous répondre avec précision. Plus de panique ! Un conseiller client va revenir vers vous dans un délai maximum de 2h (heures ouvrées du service client). Il vous fera un retour écrit au sein de cette conversation Messenger ».

Evidemment, personne ne m’a jamais répondu !

Et cerise sur le gâteau : l’emballage du produit est déchiré !

Après, on s’étonne que les gens préfèrent les livraisons en Amazon Hub – ce qui ne veux pas dire que je recommande personnellement Amazon : c’est une entreprise odieuse !

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