L’AI générative, par Philippe Roisin, EssilorLuxottica
AI générative, le nouvel Eldorado … ou le nouveau Métavers ?
Tandis que chantres de l’AI générative regardent le verre à moitié plein, ses détracteurs contemplent le verre à moitié vide : mais où se situe la réalité, dans tout ça ? Pour (tenter de) y répondre, le 7 février au matin, le Pôle Prospective de l’Adetem, donnera la parole aux entreprises qui la mettent concrètement en œuvre.
Pour vous mettre l’eau à la bouche, un rapide interview de Philippe Roisin, Responsable Méthodes Innovation, Group Lens Innovation, EssilorLuxottica.
Question : Alors, AI générative, le nouvel Eldorado … ou le nouveau Métavers ?
Philippe Roisin : Je dirai plus une agence de voyage, une agence qui nous accompagne pour explorer le passé et le futur : l’IA générative permet d’analyser des mondes complexes et de visiter des territoires inconnus grâce à un écosystème d’outils accessibles.
L’IA n’est pas une baguette magique mais elle va bien aider « le magicien » qui souhaite l’utiliser.
Question : Concrètement, qu’est-ce que l’AI générative apporte à EssilorLuxottica ?
Philippe Roisin : Il est trop tôt pour dresser un bilan sur l’usage de ces outils mais, face à la grande diversité d’expertises (optique, chimie, mathématique, informatique, physiologie…) et de métiers au sein de notre département R&D (Group Lens Innovation), nous avons le sentiment que pour les nombreux cas d’usage identifiés, ces outils seront des facilitateurs et des stimulateurs d’innovation.
Pour s’inscrire, c’est ici.