Des projets pleins la tête
Début 2015 a vu la sortie de deux ouvrages : Rupture, vous avez disrupture ?, avec mes copains des Mardis du Luxembourg ; et Développer son activité grâce aux médias sociaux, cosigné avec Alexandre Rispal.
Pour la seconde partie de l’année, deux autres ouvrages collaboratifs en préparation : tout d’abord un recueil de nouvelles, toujours avec les Mardis du Luxembourg, sur le thème de notre place dans un monde (ultra) connecté ; et ensuite un livre du Conseil Scientifique de l’Adetem sur le « Marketing augmenté », à paraître pour l’Adetem Marketing Factory de Novembre.
Autre projet rédactionnel : un manuel de marketing (encore un ???) de format réduit (une centaine de pages) faisant le lien entre marketing traditionnel et marketing 2.0, mais surtout élagué de tout ce qui ne sert à rien dans la plupart des cas, soit parce que 99% des annonceurs n’ont pas les moyens de se la payer, soit qu’il existe des moyens beaucoup plus simples d’obtenir des résultats similaires.
Avec un peu d’imagination et de savoir faire : les premières pistes me sont venues quand j’étais chez Thomson et que j’ai vu mes budgets coupés drastiquement par des cost killers trop zélés ! Bref, un ouvrage pour narguer ceux qui préfèrent les manuels qui frisent le millier de pages … qu’heureusement, personne ne lira en entier.
Un ouvrage autour de 8 grands thèmes … mais cela reste provisoire, très centré sur le personnage le plus important pour le marketer … mais qu’on néglige de plus en plus : le citoyen, trop souvent réduit à un simple numéro de carte bancaire !
Ce sera aussi l’occasion de refondre – refaire totalement – mon site ConsumerInsight, auquel je n’ai pas touché depuis sa création il y a une dizaine d’année et qui a plus que ma vieilli : ce qu’un bon rhétoricien qualifiera d’euphémisme, c’est certain.
L’occasion de revoir la proposition, les partenariats et … mes envies, aussi.
Et ce matin reprennent les sessions du Cercle des Brand Managers que je coanime avec mon ami Georges Lewi : une vingtaine de responsables de marques de qualité autour de la table, sur le principe : pas de concurrents. Reste quelques places (pas dans tous les secteurs bien évidemment : demandez-moi) pour des marketers curieux de s’enrichir des expériences de leurs alter egos.
Pas de commentaires