Uber Archives - Marketing is Dead
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Ubérisation : pour le meilleur et pour le pire

Vous l’ignoriez sans soute, mais il existe un Observatoire de l’Ubérisation, qui vient notamment de publier cette belle infographie destinée à « démontrer l’étendue du phénomène de l’économie collaborative (aussi appelée plateformisation) » – voir ici l’interview de son président.

On ne peut que constater que tous les secteurs sont touchés : en parodiant Jean de la Fontaine[1], « Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés », pourrait-on dire … car si aucune entreprise n’échappe à cette nouvelle concurrence, toutes ne souffrent pas pareillement.

Les plus gravement atteintes, ce sont certainement les compagnies de taxis – faute de leaders mondiaux proposant à des prix acceptables des services de qualité : la brèche était béante, Uber s’y est engouffré, et désormais la même application permet de réserver un service standardisé, quel que soit le pays où l’on se trouve.

Toutefois, une autre infographie me semblerait pertinente, celle opposant l’économie collaborative que l’on pourrait qualifier de vertueuse à celle qui ne l’est pas, voire strictement pas, et dont le parangon serait … Uber.

Il y a quelques jours, Charline Vanhoenacker dans son billet matinal sur France Inter, se moquait de ces coursiers autoentrepreneurs qui prennent tous les risques sans aucune couverture sociale – finalement le nouveau lumpenprolétariat du 21ème siècle.

Quand le crowdfunding permet à des porteurs de projets innovants de se lancer dans de belles aventures, quand une plateforme permet à des particuliers de partager objets et services pour mettre fin au gaspillage, tout cela concourt au bien-être général, voire à la sauvegarde de la planète.

Quand Uber décide unilatéralement de casser ses tarifs pour dominer la même planète sans se soucier le moins du monde de chauffeurs dont il espère bien un jour se passer grâce à ses voitures connectées, on rentre dans une sorte de néo-capitalisme sauvage, et certainement moins honorable.

L’économie collaborative constitue certainement un meilleurs vecteurs de développement économique des années à venir, ne serait-ce que parce qu’elle correspond parfaitement aux nouveaux modes de vie des générations Y, et surtout Z.

Mais elle peut également se muer en une nouvelle forme d’esclavage moderne, ce qui me semble moins pertinent : et comme les politiques apparaissent de plus en plus en retard face à des évolutions sociétales galopantes, c’est aux citoyens de se montrer vigilants pour éviter que de belles aventures se transforment en cauchemars.

[1] Les Animaux malades de la peste

L’art de la guerre digitale : ubérisez les premiers !

L’art de la guerre digitale

Sun Tzu, le cultissime auteur d’un « Art de la guerre » vieux de plus de 25 siècle, se retournerait dans sa tombe en découvrant comment se comportent aujourd’hui les généraux du digital : la 1ère étape, selon Sun Tzu, consiste-t-elle à évaluer les forces en présence ? Pas le temps, répondent les startups les plus agressives : on fonce, on fonce, on fonce … et on verra après !

KONICA MINOLTA DIGITAL CAMERA

Alors, PME ou grand groupe, si vous espérez pouvoir prendre le temps de la réflexion, c’est raté : le temps que vous bâtissiez votre stratégie, votre ennemi sera dans votre bureau, prêt à vous racheter s’il a l’âme généreuse, après avoir raflé la majorité des parts de marché.

Quelque-part, vous n’avez le choix : ubérisez vos concurrents avant de vous faire ubéiser.

Apprenez non seulement à agir vite, mais également en vainqueur, avec les experts du Club Marketing 2.0 de l’Adetem le Mardi 15 novembre à 9 heures :

  • Caroline FAILLET, Co-founder & CEO @Cabinet_Bolero et auteur d’un « Art de la guerre digitale », nous expliquera comment survivre et dominer à l’ère numérique ;
  • Kevin ECHRAGHI, Project Analyst chez Fabernovel, nous montrera au travers de l’exemple d’Uber que dans la guerre actuelle que se livrent les startups, il ne suffit pas d’avoir le 1er la meilleure idée, mais qu’il convient surtout d’être le 1er à atteindre une taille critique, et ce par tous les moyens à sa disposition.

Pour s’inscrire, c’est ici.

Envie de hacker votre ronron ?

78% des entreprises américaines voient leur avenir menacé par les start-ups : en cause, une transformation digitale qui peine à prendre forme.

Faut-il lancer The application?

Faut-il recruter un Chief Digital Officer ?

Faut-il fermer boutique  et n’être présent qu’en ligne ?

08-taichung-57-stock-20Autant de questions que se posent les participants que nous croisons au club marketing 2.0 depuis plusieurs mois.

Alors que la transformation digitale devrait être une source de stimulation incroyable, elle immobilise. Sans doute à cause des modèles disruptifs à l’œuvre ; pour ne citer que le plus connu : Uber. Mais aussi la faute à notre société cartésienne : la méthode semble être le maître mot qui accompagne tout changement, un système qui finit par scléroser les initiatives et alimente la défiance à l’égard de tout initiateur.

Artisans de la transformation digitale, les intervenants du Club Marketing 2.0 de l’Adetem viendront le Mardi 15 novembre vous parler de la posture à adopter pour hacker vos façons de faire, réaliser le pivot et … cesser de ronronner.

Caroline FAILLET, Co-founder & CEO @Cabinet_Bolero. Auteur de l’Art de la guerre digitale chez Dunod Ses domaines d’intérêts : #netnologie #strategie #ereputation #influence #datadriven

Kevin ECHRAGHI, Project Analyst chez Fabernovel, nous montrera au travers de l’exemple d’Uber que dans la guerre actuelle que se livrent les startups, il ne suffit pas d’avoir le 1er la meilleure idée, mais qu’il convient surtout d’être le 1er à atteindre une taille critique, et ce par tous les moyens à sa disposition.

Pour s’inscrire, c’est ici.