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Le Jour du Blog

Blog Day.jpgDécouvert – avec un poil de retard – grâce à Julien Bonnel, que le 31 août se déroulait la 4ème édition du BlogDay.

« Ce Jour du Blog a été crée en pensant que les bloggers devaient avoir un jour qui serait dédié à connaître les autres bloggers, d’autre pays ou d’autres centres d’intérêts. Ce jour-là, les bloggers pourraient les recommander aux visiteurs de leur blog » : je sais, ça fait un peu jargon, ça sent la traduction automatique, mais c’est comme ça qu’on cause sur le site du BlogDay.

Julien Bonnel, vous ne connaissez pas ? C’est Marketing et Technologies, dans la rubrique P’tits jeunes de la colonne de gauche.

« Pour ma première participation je vais déroger à la règle en vous recommandant 5 blogs proches de mes centres d’intérêts » : voilà pourquoi je me suis retrouvé avec quelques autres – dont mon copain GourvenecVisionary Marketing – dans son post d’aujourd’hui.

Bon, si je devais quand même citer quelques blogs d’autres cultures ou d’autres centres d’intérêts …

Il y aurait certainement les iconoclastes Un Breton vivant en Suisse, de Riwal Ferry, et Indiscipline intellectuelle, de Thierry Groussin. Jusque-là, pas trop de soucis, ils sont dans la liste de gauche – pas dans les P’tits jeunes, c’est fini pour eux !

Pour ne pas me montrer trop à cheval sur les principes et les règles de ce Jour du Blog, il y aura aussi Hyppo Blog, le blog cavalier – en tous les sens du terme – de Philippe Noel.

Allez, un peu d’exotisme – mais en restant dans le marketing, alors – avec The Extraordinary Experience, d’Emmanuel Probst : c’est en anglais, il vit dans une des plus villes américaines : Chicago !

Et bien sûr, pour terminer, l’excellent blog d’Henri Kaufman … mais non, pas Et si l’on parlait marketing, bien trop célèbre pour vous le faire découvrir ; mais son extraordinaire Miss.Tic FanClub – une artiste de rue géniale, siamoise de la sorcière de Picsou !

Et voilà, c’est boucle !

Le cache de Google

Google.gifPour les néophytes du Web en général et du Web 2.0 en particulier, le cache de Google demeure un « lieu » non seulement virtuel mais mythique : on sait « où ça se trouve », mais pas vraiment « à quoi ça sert » et encore moins « qu’est-ce qu’on peut en faire »

« Lorsque Google explore le Web, il crée une copie de chaque page examinée et la stocke dans une mémoire cache, ce qui permet de consulter cette copie à tout moment, et en particulier dans le cas où la page originale (ou Internet) serait inaccessible. Lorsque vous cliquez sur le lien « Copie cachée » d’une page Web, Google affiche celle-ci dans l’état où elle se trouvait lors de son indexation la plus récente » : voilà la réponse à la question « à quoi ça sert », telle que la fournit Google himself.

Mais « qu’est-ce qu’on peut en faire » ? Mis à part cliquer dessus pour mieux voir où se situent dans le texte recherché les termes de sa requête, Google les distinguant par un surlignement coloré.

Justement, accéder à des pages disparues : par exemple récupérer des pages de son blog que l’on a malencontreusement supprimées sans les avoir par ailleurs sauvegardées, comme le l’explique sur Intelligence collective, après avoir détruit, un soir de grande fatigue et par totale inadvertance, deux mois de production !

Autre exemple : vous découvrez avec délectation sur Temps réel que « les noms d’Axel Poniatowski, de Paul Giacobbi et de Frédéric Lefebvre sont apparus brièvement vendredi parmi ceux des ministres sur le site internet du gouvernement », suite à « une « erreur technique » provenant d’une « collaboratrice du SIG (Site d’information du gouvernement), qui en prenant des notes personnelles sur son interface ».

Evidemment, vous souhaitez aller vérifier l’information par vous-même … ou simplement aller rire un bon coup : rire aux dépens de Matignon est un rare plaisir dont les mauvais esprits raffolent !

Manque de chance, les services du Ministère ont vite fait, bien fait, corrigé la bourde : on n’ajoute pas trois ministres sans la signature des grands patrons de l’exécutif.

Reste une solution : visiter le cache de Google ; mais comment procéder ?

Les concernés s’appellent Axel Poniatowski, Paul Giacobbi et Frédéric Lefebvre : rendez-vous sur la page d’accueil du moteur de recherche et tapez le nom de Frédéric Lefebvre. Résultat : « 432 000 pages en français », excusez du peu, le monsieur a récemment beaucoup fait parler de lui … et compte également de nombreux homonymes, pour compliquer la tâche !

Vous cliquez alors sur « Recherche avancée » et sur la page correspondante, vous précisez « gouvernement.fr » en face de « afficher les pages du site ou du domaine ».

Cliquez à nouveau pour obtenir comme première référence « Les flux RSS du site gouvernement.fr », avec en dessous les liens : « En cache – Pages similaires ».
Et un clic sur « En cache » vous envoie à une adresse un peu étrange commençant par : http://209.85.229.132/search?q=cache

Et là, les trois malheureux faux ministres apparaissent à la suite des vrais, après un dénommé Benoist Apparu dont j’avoue avoir ignoré le nom jusqu’à cet instant.

« Le lien « Copie cachée » n’apparaît pas si le site n’a pas encore été indexé ou si le propriétaire du site a demandé que le contenu caché soit exclu de l’indexation Google », précise encore Google sur la page décrivant ses « Fonctionnalités spéciales » … ce qui explique que si vous effectuez maintenant la requête ci-dessus mentionnée, vous ne verrez pas le lien magique.

Alors, je vous offre une copie d’écran précédemment effectuée et précieusement conservée dans le … cache de mon propre ordinateur : car nos ordinateurs également disposent de leur propre cache, hélas plus éphémère.

Cache Ministres.jpg

Having a Second Life second wife …

JulianCRiedererAvatarSL.JPG… c’est une de trop, comme le relate The Scotsman.

Telle est la triste histoire de David Pollard dont l’avatar tomba récemment éperdument amoureux de celui de Linda Brinkley : « It was love at the first sight », commente cette dernière. Tant et si bien que les tourtereaux décident de se marier … virtuellement, bien évidemment.

Sauf que si le belle Linda Brinkley était libre comme l’air – après deux divorces – il n’en allait pas de même de David, toujours uni à Amy Taylor … dans la vrai vie, car cette dernière ne fréquentait pas les mondes virtuels.

Mais il existe de vulgaires passages entre mondes réel et virtuel – un peu comme il existe des trous de ver dans l’espace sidéral : vous savez, ces raccourcis temporels qui permettent de se déplacer plus vite que la lumière !

Plus prosaïque, le passage fatal à David s’appelle tout simplement … un écran d’ordinateur : un jour que ce dernier badinait tranquillement en ligne avec son cher avatar, son épouse réelle a surpris quelques échanges, suffisamment convaincants pour lui mettre la puce à l’oreille.

Et dans le pur style des romans de gare, Amy Taylor a engagé … un détective privé virtuel (!) qui réussit à retrouver les deux amants sur un sofa (virtuel) en pleins ébats !

Résultat : un divorce … réel !

Mais, philosophe, David reconnaît que son premier mariage battait de l’aile depuis déjà un certain temps : « Amy never did anything around the house. She just payed World of Warcraft alle the time ».

Pour ceux qui ne connaissent pas, World of Warcraft est un jeu vidéo en ligne de type massivement multi joueurs – MMORPG pour « massively multiplayer online role-playing game ».

Rien d’étonnant qu’elle ait finalement quitté David pour un … joueur en ligne. Rencontré, devinez où ? Sur World of Warcraft, bien entendu, ça ne s’invente pas.