Les étapes de vie remplacent avec une plus grande pertinence les lourdes études socioculturelles : aisément reconstituables à partir d’enquêtes quantitatives généralistes comme les études médias marchés, elles se révèlent pertinentes dans tous les domaines de la consommation.
On néglige souvent les études qualitatives, généralement reléguées en amont des terrains quantitatifs alors qu’en aval, elles permettent d’affiner et expliquer des résultats superficiels ; surtout, quand elles mixent des approches complémentaires (ethnologie, sémiologie, etc.) elles autorisent des décisions extrêmement opérationnelles.