L’influence. Vices et vertus.
La dernière édition de la Revue INfluencia (la numéro 13, porte bonheur … ou malheur, c’est selon) traite de … « L’influence ».
Sous-titre, en tout petit, mais c’est déjà un vaste programme : « Vices et vertus ».
INfluencia parle de l’influence, ça a un petit côté selfie pourrait-on dire pour rester « tendance » ; ou ça fleure bon Gide et ses constructions en abyme – mais là, je ne m’adresse qu’à une part négligeable du lectorat !
Isabelle Musnik, directrice de la rédaction et des contenus, préfère convoquer Gaston Bachelard : « Le paradoxe de la condition humaine, c’est qu’on ne peut devenir soi-même que sous l’influence des autres ».
Gide, Bachelard : des monstres sacrés, qui ont certainement influencé bien des étudiants d’une autre génération que celle des selfies !
Qui influence aujourd’hui les jeunes, eux que la revue envisage « bientôt au Panthéon ? », avec quand même un point d’interrogation !
Quelques autres têtes de chapitres prometteurs : « Le slow média impose sa volonté » (dans un monde plein de stress, c’est la pause Kit Kat pour tous) ; « Le marketing doit divertir, c’est sa première obligation » (à diffuser prioritairement à ceux qui n’ont que le ROI à la bouche) ; etc.
Bref, un nouvel opus à dévorer d’urgence.
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